En ouverture : Fanette


La salle de restaurant

TRUFFE. « Ici, pas de chef de cuisine, mais une cuisinière » lance Pascal, le mari, qui est en charge, avec son fils Morgan, de vous demander votre choix parmi les 5 menus proposés, ne sachant pas à l'avance ce que vous allez trouver dans votre assiette. Car Fanette imagine ses menus en fonction des produits récoltés lors de sa quête matinale, qu'elle trouve en majorité à proximité immédiate, dans la nature environnante. De retour en cuisine, seule, elle imagine ses recettes, adore travailler les produits du terroir, les légumes en priorité, pour leurs saveurs et leurs couleurs, comme ce taboulé de chou-fleur aux cèpes, et bien évidemment la truffe noire de la production familiale qui s'épanouit aux pieds des chênes truffiers de la propriété, qu'elle s'empresse d'aller caver avec son chien et que vous retrouvez dans le menu "À la découverte de la truffe". Composé d'amuse-bouche, mise en bouche, entrée, plat, fromage et dessert, vous pourrez peut-être déguster l'incontournable brouillade de truffe et sa salade de jeunes pousses, l'œuf ​coque aux champignons, risotto de lentilles, chantilly au jus de cèpes, râpé de truffe, le burger de Saint-Jacques aux lamelles de truffe sur une purée de topinambours, la queue de bœuf confite au vin rouge de Provence, frites de panisse, gnocchis de patate douce, râpé de truffe, le dos de cabillaud en écaille de truffe, écrasé de pomme de terre, chips de fenouil, huile aux herbes fraîches, la tartine de camembert chaud aux truffes, l'île flottante aux truffes…


Ravioles de volaille fermière, épinards, crème réduction de porto, caviar de truffe et émulsion à la truffe

• La table de Fanette
Le petit Pouvet 83670 Fox-Amphoux
Tél. (0)4 94 80 72 03
http://www.tabledefanette.com
contact@tabledefanette.com
Fermé le lundi.
Formule du midi, sauf week-end et jours fériés 19€ et menus 27€, 37€, 47€ et 59€ (truffe).
Maître restaurateur. Restaurant de qualité du Collège culinaire de France. Table remarquable Châteaux & hôtels collection.

(photos Gérard Bernar)

Publié le 1er décembre 2014