
Le samedi 16 avril, l’AOC Gigondas célébrait le 40e anniversaire de son accession en cru, lors d’un dîner de gala donné en cet honneur. Le 4 janvier 1971, l’appellation Gigondas obtenait enfin le statut de cru demandé depuis de nombreuses années auprès de l’INAO.
En ouverture : les lauréats du 4e concours des vins de Gigondas, de gauche à droite, Myriam Boudier (Domaine des Florets), Julien Bréchet (Domaine des Bosquets), Mathieu Boutière (Domaine du Pesquier)SOIRÉE. En préambule, lors de l’apéritif étaient annoncés les résultats du 4e concours des vins de Gigondas.
Gigondas rosé 2010. 1er : Domaine des Florets. 2e : Château de Montmirail – Cuvée du Rossignol. 3e : Gigondas La Cave - Signature
Gigondas rouge 2009. 1er : Domaine des Bosquets. 2e ex-æquo : Domaine du Terme et Pierre Amadieu – Cuvée Pas de l’Aigle
Gigondas rouge 2006. 1er : Domaine du Pesquier. 2e : Notre Dame des Pallières. 3e : Gigondas La Cave – Signature

Les lauréats du concours Gigondas rouge 2009, de gauche à droite, Franck Alexandre, président de l’AOC, Anne-Marie Gaudin (Domaine du Terme), Pierre Amadieu, Claude Haut, Delphine Faraud, Julien Bréchet (Domaine des Bosquets)Les lauréats ont été félicités par les notables présents, le président du Conseil général Claude Haut, le conseiller général Christian Gonnet et le maire de Gigondas, Rolland Gaudin.
S’ensuivit, dans la bonne humeur générale, le dîner de gala préparé par le restaurant l’Oustalet. La soirée, orchestrée par le président de l’AOC Franck Alexandre, secondé dans l’organisation par la commission des jeunes vignerons, était animée par un groupe basque emmené par le chanteur David Olaïzola.
Le parrain de la soirée, l’ancien joueur de rugby, aujourd’hui commentateur sportif Philippe Sella, a remis le trophée au gagnant du concours des vins pour le Gigondas 2009, qui n’est autre que le président des Jeunes vignerons, Julien Bréchet.
Les invités d’honneur se sont succédés sur scène pour donner chacun leur vision de l’appellation Gigondas. L’historique de l’appellation ainsi que les hommes qui l’ont construit ont été évoqués par ses acteurs qui ont également rendu hommage aux absents. La soirée s’est terminée aux accents de la coupo santo, pour laquelle les 200 convivies présents ont levé leur verre de Gigondas, millésime 1971 bien sûr.
(photos Camille Meffre)